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UN PEU COMME UN VENDREDI 26 JUILLET
pérégrination poétique
les poètes en partance – 9h45
Sur l’ancienne voie du tram Saint-Marcellin / Lyon, la voix envoûtante de Laurent Marielle-Trehouart ressuscite les envies de départ de poètes contemporains (Larbaud, Cendrars, Garcia Lorca, etc.) avec en soupir, à chaque station, quelques mots de poésie gitane.
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surprise !
la chronique de 12h22
grande cour – gratuit
François Chaffin et sa bande d’écrivants volontaires vous proposent une restitution en mots et en musique de leur atelier d’écriture aussi quotidien que matinal… Et c’est à 12h22 précise (tout retard sera sévèrement puni sans qu’aucune circonstance atténuante ne puisse être retenue parce que bon, quand même, quoi).
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in vino veritas
apéro-rencontre – 12h30
grande cour – gratuit
animé par émile lansman, éditeur
Un croisement de trajectoires entre artistes et festivaliers pour un échange convivial autour d’un bol de cacahuètes… Un moment pour discuter des spectacles de la veille et de ceux à venir.
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concert miam-miam
le casse-croûte musical – 13h30
grande cour – gratuit
Quelques notes à savourer avec FROOVE RAIDERS (Grenoble) qui remet au goût du jour le son soul/funk des années 60/70/80.
Miles Davis, Billy Cobham, Pee Wee Ellis, Aretha Franklin, Etta James, Stevie Wonder, Prince… ça va guincher sous les tilleuls !
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lecture
marilyn perreault – 16h
gratuit
Marilyn Perreault lira ce texte écrit en 2012 en résidence entre Saint-Antoine-l’Abbaye et l’Espace 600 à la Villeneuve de Grenoble.
mille fenêtres empilées
Mael, 15 ans, habite une cité où 15 000 personnes s’empilent dans d’énormes tours à logements aussi chaotiques que labyrinthiques. Dans l’espoir de faire un gros coup d’argent, Mael crée une maquette de son quartier pour que des enquêteurs puissent arrêter, en un seul soir, tous les dealers qui s’y cachent. Mael espère ainsi pouvoir déménager avec sa mère à la campagne afin qu’elle arrête de tenter de se lancer par les fenêtres du 13ème étage.
Bien que son projet soit admirablement bien pensé, Mael se fera lentement détourner de celui-ci par son amour pour la copine du premier dealer à liquider, par le chantage d’une nouvelle arrivée dans le quartier qui lui fera croire qu’elle est enceinte de lui et par sa mère qui perd de plus en plus la tête.
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théâtre
contre les bêtes – 18h
théâtre du furand – durée 50mn – dès 12 ans – tarif unique 12€
texte : jacques rebotier – mise en scène : émilie le roux – interprétation : xavier machault – création et interprétation musicale : théo & valentin ceccaldi – assistanat mise en scène : fanny duchet – création lumière : éric marynower – une production de la cie des veilleurs.
Contre les bêtes est un ovni, hybride de théâtre, de musique et de poésie.
Jacques Rebotier nous entraîne dans un raisonnement par l’absurde qui, à mille lieues de toute morale écologiste, interroge le rapport que l’omme entretient avec les autres hespèces.
“Le langage le dit bien. Les bêtes sont bêtes. Et en plus ce sont des bêtes ! Animalité, bestialité. Alors qu’un humain est “humain” ! Il sait faire preuve d’”humanité”. Il fait ses “humanités”. Il peut être “humaniste”. Un cochon d’Inde, jamais. Ça veut quand même bien dire quelque chose les mots, non ?”
Pour réserver ce spectacle en ligne, c’est ici !
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amorce
spéciale dédicace – 18h30
librairie du festival – gratuit
Carole Thibault, auteure associée au festival textes en l’air en 2009, et Marilyn Perreault, auteure associée en 2011, viendront lire quelques extraits de leurs textes.
L’occasion d’un échange et d’une séance de dédicace.
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concert
des fourmis dans les mains – 19h30
grande cour – gratuit
laurent fellot : contrebasse, guitarcelle, voix – camille durieux : piano, choeur, percussions – damien sanlaville : batterie, percus
Dans une énergie brute, le trio Des Fourmis dans les Mains marque sa trace dans la chanson française actuelle. Une trace extrêmement personnelle. Poésie contemporaine, chantée, parlée, emmenée par Laurent Fellot, conteur extraordinaire de faits de vie ordinaires. Un voyage fascinant, jonglant avec une désinvolture jubilatoire entre les mots et les images, mettant le trio dans une complicité rare.
Une autre écriture, un autre son, et tous les sens en éveil !
aller sur le site des fourmis dans les mains ? Ok d’ac.
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théâtre
l’enfant, drame rural – 21h30
basse cour du musée – durée 2h – dès 14 ans – de 12 à 17 €
texte et mise en scène de carole thibaut – avec marion barché ou clotilde maurin, thierry bosc ou stéphane dausse, eddie chignara, sophie daull ou carole thibaut, emmanuelle grangé, donatien guillot, fanny santer, boris berral – création technique : carole thibaut et le collectif in vivo
Il est question… d’une petite communauté humaine ordinaire, où il n’y a pas d’enfants, jusqu’au matin où un enfant nouveau-né y apparaît soudain, venu d’on ne sait où … d’un été trop chaud et sec, irrespirable … d’un homme qui finit par brûler tous ses livres, parce qu’il comprend trop tard que tous ces livres lus ne furent en définitive qu’un rempart érigé pour protéger son propre mensonge … d’un homme qui n’aime plus sa femme, ne veut pas se l’avouer, et par là commet la pire des trahisons … de chasseurs en mal de chasse et qui partent à la chasse à la femme et à l‘enfant … d’une femme et d’un homme qui bercent leur vide d’enfant comme ils le feraient d’un enfant vivant … d’une idiote à qui on a retiré son enfant et qui en vole un. Il est question d’un village en flammes…
Cette pièce a été conçue lors de la résidence d’écriture de Carole Thibaut à Saint-Antoine-l’Abbaye en 2009.
Véritable plongée dans la monstruosité ordinaire, elle pose la question de la naissance de l’inhumain. Un nouveau-né abandonné devant la grille d’une ferme va bousculer la vie d’un village figé dans l’immobilisme.
Suscitant rumeurs et suspicion, réveillant vieilles querelles et mémoires enfouies, l’enfant va passer de mains en mains jusqu’à revenir dans les bras de celle qui l’a trouvé : l’idiote du village.
“Carole Thibaut nous fait le plus beau cadeau qui soit : une grande pièce de théâtre, une histoire qui sent la terre, la sueur et le sang, un conte sans sorcière, ni loup, ni château, mais avec un enfant abandonné.”
Un fauteuil pour l’orchestre/ Dashiell Donello
la compagnie sambre est en convention avec la direction des affaires culturelles de la région île-de-france – ministère de la culture et de la communication, avec le conseil régional d’île-de-france et est soutenue par le conseil général du val d’oise.
Pour réserver ce spectacle en ligne, c’est ici !
Pour réserver le même spectacle mais au tarif réduit, c’est là !
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atelier d’écriture nocturne
la nuit blanche de l’écriture – 00h
rdv à la billetterie du festival – tarif unique 30 €
atelier animé par marilyn perreault et sébastien joanniez
avec la complicité du musée départemental de saint-antoine-l’abbaye
Des écrivants s’immergent jusqu’à l’aube dans la vie nocturne du Musée de Saint-Antoine-l’Abbaye avec deux auteurs, Marilyn Perreault et Sébastien Joanniez.
Au petit matin auteurs et spectateurs se retrouvent pour un petit déjeuner lecture dans le jardin du palais abbatial.
nombre de places limité – inscription indispensable
Pour réserver sa participation à la nuit de l’écriture, c’est là !
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Et samedi ? C’est par ici…
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Plenty of michael kors outlet bright spots for men cheap michael kors Rag Bone design at New York Fashion Week. But there were some bright michael kors outlet spots literally and figuratively in the collections for spring and summer 2011 that designers showed during New York Fashion Week, which wrapped up at the end of last week. Bright hues are nothing new to the spring color palette, but the abundance of vibrant yellows and oranges throughout the collections (for men and women) is Michael Kors handbags cheap enough to make one wonder if the entire season had been underwritten by Sunkist. Standouts included Michael Bastian’s Navy frogmen inspired collection, which made liberal use of yellow on neoprene scuba tops, striped rugby shirts, sweaters, nylon belts and diver print flip flops the latter part of a new collaboration with Haviana and bold, color blocked Michael Kors Outlet (and functional) sailing gear at Brooks Brothers. At Lacoste, Christophe Lemaire’s final collection went out in a blaze of head to toe "mercury orange," and Timo Weiland turned heads with a striking two button men’s cheap michael kors blazer. Madras
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